Exemples
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Discours numéro 1
Tu as traversé la vie comme une brise discrète qui rafraîchit sans qu’on la sente.
Aujourd’hui c’est ton absence que nous ressentons : nous éprouvons combien tu nous fus essentielle.
Tu étais à nos côtés, toujours disponible pour nous écouter, constamment présente et bienveillante.
Sans toi la vie ne sera plus tout à fait la même ; ses contours ne seront plus polis par ton indulgence et ton sourire finement insistant.
Puisse le souvenir que tu nous laisses être aussi doux que ta présence chaleureuse. Rien n’est moins sûr.
Déjà aujourd’hui nous sommes inquiets de ne pas t’avoir assez rendu hommage. Sans doute souris-tu encore de nos inquiétudes.
Tu disais en silence la confiance que tu nous accordais. Il nous revient désormais de nous montrer dignes de l’héritage qui est le tien, en posant constamment ton regard attendri sur les existences.
Inspire-nous encore cette neutre convenance avec les choses que tu as su nous apprendre en l’incarnant avec délicatesse.
Cérémonie
Aujourd’hui nos larmes coulent
Certains ici même s’écroulent
Si nos visages se couvrent
C’est bien que nos cœurs s’ouvrent
Rendus à présents comme absents
A nous-mêmes par ton récent
Départ qui nous laisse passant
De toi au vide que l’on ressent
Nous ne savons plus que faire
Que dire sinon nous taire
Le jour où l’on t’enterre
La tristesse nous enserre
Chacun demeure sans puissance
Toute parole est indécence
Nous te regardons en silence
Vue d’un intérieur immense
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Discours numéro 2
Tu n’as pas attendu le jour où la tristesse nous submerge pour recevoir des honneurs. Nos larmes paraissent aujourd’hui trop petites, presque chiches devant la stature que tu as dressée devant nous. Nous voudrions proportionner notre peine à ta grandeur.
Nous n’osons plus même énumérer les titres par lesquels tu as été distingué. Tes mérites ont été reconnus par tous les collectifs auxquels tu as participé. Tu as tellement montré de bienveillance, de compétences et de disponibilité que nous nous sentons tous un peu tes enfants. Orphelins d’un jour, nous resterons attachés à ce que tu nous as appris ; nous aurons à cœur de perpétuer ce que tu nous as patiemment transmis.
Toi qui as toujours su t’imposer sans force, c’est maintenant ton absence qui nous écrase. Trop longtemps nous nous sommes repus de ta généreuse abondance. Aujourd’hui nous ne sommes riches que de pleurs. Nous t’imaginons parmi nous, à nous encourager encore à vaquer a nos occupations.
Alors que tu fais défaut à notre assemblée, nous semblons obsédés par une seule pensée : te dire que nous avons paru oublier ton action sur nous tant elle était forte et continue. Mais nous saurons faire persister par nos souvenirs et, s’il se peut, par nos actes, l’esprit de ton omniprésente attention. Nous clamerons dans le calme puissant qui te caractérisait la valeur de ton engagement parmi nous.